Legs Edition a publié une oeuvre posthume d’Etzer Vilaire, héritage de famille, et nous l’a proposée à titre de document témoin d’une époque. Certains critiques, pour reprendre l’idée de l’éditeur Wébert Charles, avaient reproché au poète de ‘’Les dix hommes noirs’’ de n’avoir rien publié sur l’occupation américaine. Celui-ci était plongé, d’après eux, dans un long silence après avoir obtenu le prix Davaine de l’Académie française, en 1912. L’éditeur a apporté un ferme démenti à la littérature haïtienne officielle. Il nous propose un autre éditorial, un autre mode d’approche. [Lire la suite]
Wébert Lahens, Le Nouvelliste, vendredi 23 octobre 2015